Out of the country #1

Hey guys, it's 1:05 am and I should be sleeping actually. Tomorrow I'm leaving at 4:00 (yes in less than 3 hours) for Tokyo, Japan. I'm gonna be out of the country for the next 2,5 weeks. I'm so excited. On the way back I'll stop in Doha, Qatar for 3 days. I'll be back with lots of photos as usual. But, I won't blog during the meantime, sorry about that... I'll continue to use Instagram, though. So, stay tune !

I've just spent the evening in town for the last night of the TLN Festival. It was the 1st edition of this fest'. It was very cool. Loved it actually. I'll talk about it + post photos of the 3 nights later, of course.

XX DJG.

Tokyo vu par...by Yoko Higashi by Yoko Higashi

Rockorama Festival #4 2012 / Instagram.

Rockorama, le jardin rock a repris ses quartiers d’été au pied de la Tour Royale vendredi 15, samedi 16 et dimanche 17 juin ! Pour sa quatrième édition, Rockorama a rejoué la partition de son succès: des notes rock, pop et électro indés et de qualité sur une portée détendue, à mi-chemin du déjeuner sur l’herbe entre potes sous le soleil provençal et de la pure guinche. (Texte par Rockorama, source Fb).

Mais, avant tout, en quoi consiste le Festival Rockorama ?

Il s'agit d'un festival de musique composé de différents courants tels que : Pop / Indie / Électronique / Garage / Noisy / Lo-fi / Post rock... Attaché à l’actualité “indé” le festival présente des groupes éloignés des standards commerciaux et propose chaque été un line-up de qualité. Le festival prend place dans la jardin de la Tour Royale au Mourillon à Toulon. Coincé entre la Tour, la mer et un gros sous-marin jaune (dont j'ai oublié le nom ainsi que sa raison d'être), le lieu est idyllique, magique, unique. Pour cette 4ème édition, la scène fut implantée au pieds dudit sous-marins, contrairement aux années précédentes, ce qui rend le lieu (ainsi que le concept entier du festival) plus intime et plus agréable pour les festivaliers.

Je n'ai assisté au festival uniquement le samedi soir et le dimanche en fin d'après-midi. Voici, ci-dessous, quelques photos prises avec un iPhone 4s et travaillées avec Instagram ! Il n'y a rien à dire, la photo sur téléphone mobile (surtout quand elle est de qualité) est très pratique et évite (bien entendu) de se trimbaler avec un appareil photo (quelque peu couteux) sur un lieux où l'ambiance se prête au déhanchement rythmé. Je rappel, pour les intéressé, que pour me suivre sur Instagram c'est @djgphoto.

1. Une fois arrivé sur le lieux, en début de soirée, une bière fraiche s'imposait !

2. Premier groupe de la soirée, Kelly und Kelly (fr/électro-rock).

3. Magnifique couché de soleil. Jolies couleurs, donc photo.

4. Vue large du lieu. Second groupe, La Sera (us/indie). Pris d'un élan d'enthousiasme je n'ai pu résister à l'achat de leur second album qui était en vente sur place. Plutôt bon album. Ils ne sont pas américain pour rien, on se comprend...

5. 4ème groupe, We Have Band (uk/electro-pop). Le top du top...

6. ...On a même fini sur scène pour la dernière chanson.

7. Petit repos bien mérité après plus de 4h de concert avec Toulon illuminé en toile de fond.

8. Dimanche après-midi. 17h. Konnections (fr/dreamwave). Top !

9. Second groupe, The Splitters (fr/punk/garage). Ça secoue.

10. C'était l'été avant l'été. Il devait faire pas loin des 3 000 degrés Celsius et quelques. Avec Elsa. 50 cl de bière fraiche payée en jetons.

By the way, I'm sorry not to write in english like I used to do. I don't really have time to do so. I'm not bilingual, I'm just OK. Ah ah. Sorry I'm a bad blogger. I have a lot to do these days. Lots of surprises (actually photos of 2 locals events I really care about) coming soon here. And mostly preparing my travel to Japan + Qatar (2,5 weeks), I'm leaving on sunday, 4 am. Yay. 

En dérive urbaine dans Toulon.

 Le Club des <SYNC> organise dans le cadre du théma #5 le territoire en Liberté du Théâtre Liberté de Toulon, le samedi 26 mai à partir de 10h une dérive urbaine dans Toulon. 

Qu’est ce que la dérive ?

La dérive urbaine est un concept phare de l’Internationale Situationniste. Fondé en 1952, en France, ce courant se présente à la fois comme une avant-garde culturelle, une recherche expérimentale sur la voie d’une construction libre de la vie quotidienne et une contribution à l’édification d’une société nouvelle. Ce mouvement puise son inspiration dans la lutte des classes, la critique du système capitalistique, en insistant notamment sur le rôle et les effets pervers des images et de la publicité. En réponse, la Situation exige du spectateur une posture active qui doit lui permettre de vivre, ressentir, comprendre et changer la société, la ville, le quotidien. Debord considérait la ville comme le théâtre vivant de la condition humaine. C’est-à-dire un lieu de représentations nombreuses, extrêmement riches, contradictoires voire antagonistes (le religieux, le politique, l’art, le social etc), et un terrain de jeu primaire, grand révélateur de la lutte des classes. Cette réalité, seule une approche aléatoire et « sentimentale » peut la révéler. La dérive est un abandon de la préconception et des réflexes soutenus non par le bagage culturel mais par la distance et le temps. 

Une dérive toulonnaise : Toulon est une ville riche et complexe. L’imaginaire collectif toulonnais lui-même limite les représentations de la ville aux dimensions historiques (le port, la marine…), identitaires (le RCT, le cours Lafayette) et fonctionnelles (la circulation, le commerce…). La dérive urbaine dans Toulon invite quiconque, individuellement ou collectivement, à découvrir par l’errance les Autres Lieux du quotidien toulonnais, les lieux discrets, les lieux relégués, et à les apprécier à leur juste valeur. Et ainsi dresser, par le récit, une « carte du tendre » de la ville.

Festival Constellations @ Opéra TPM.

Jeudi 31 mai “Fictions Soniques” / Résumé photographique à l'Opéra de Toulon.

 Extract from "La Tour des Crânes", YokoHama.

Festival Constellations @ Villa Tamaris Pacha.

Samedi 26 mai “We could be pirates” / Extrait à la Villa Tamaris Pacha

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Festival Constellations (19 + 26 + 31 mai 2012)

par la compagnie de danse contemporaine Kubilai Khan Investigations.

La ville, l'espace créatif. Constellations déplace les lieux de présentation de la danse, des musiques, des arts visuels, pour trouver des regards, des axes sensibles.

Constellations voyage dans les grandes villes du monde pour accompagner des mondes en mutations. Constellations invite à la transversalité pour suivre les rythmes de transformation de l’espace urbain. Constellations accueille l’hybridation des formes et des références, les fait jouer les unes avec les autres, cherche la métamorphose à travers une mise en relation. Constellations invente des situations pour donner du temps, regarder, écouter et renforcer notre désir de partages. Ballades urbaines sur les sentiers de la création d'aujourd’hui. Constellations investit la ville car l’art est public.

// CONCERTS / PERFORMANCES / DANSES / CONFERENCES / ATELIERS / BALLADES URBAINES / CABOTAGE / BALS / SESSIONS ACOUSTIQUES / NUITS SURPRISES //